Il était une fois en Chine

Wong Fei-Hong, le personnage principale est un maître des arts martiaux et médecin. Il devra se battre contre des brigands, mais les Britanniques et les Américains qui s’installent de plus en plus en Chine.

Il était une fois en Chine est un film de Tsui Hark, Hong-kongais, sortie en 1991. En le voyant, on peut penser qu’il a était tourné dans les années 1960, sûrement à cause du manque de moyen du cinéma Chinois.
Le générique est magnifique, on voit une soixantaine d’amateurs en arts martiaux faire leurs entraînement avec des gestes très gracieux, avec une musique très féerique. On ne s’attend à voir un film très calme sur la vie chinoise, mais non c’est un film avec beaucoup d’action.

C’est un film très spectaculaire de Kung-fu, avec les chorégraphie magique, au ralentis, qui montre encore plus la complexité des gestes de cet art martial. Les combats peuvent durée plus de 10 minutes, et pendant tous ce temps, il n’ y a pas un moment où on peut s’ennuyer. Tous est très rythmé. Les protagoniste ce combat avec des échelles, des bout de bois, ils est jettes avec leurs pieds, ce qui rends ces séquences vraiment impressionnante, on se demande « comment es-ce possible de faire cela ? »
Pendant les combats ou même après, il y a beaucoup des scènes violentes et gore avec beaucoup de sang. On peut voir des personnes se faire tuer avec un fusil. Le réalisateur ne c’est pas empêché de montre du sang pendant plusieurs minutes.
Dans ce film une histoire d’amour entre Wong Fei-Hong et la 13ème Tante, se mêle à tous ces combats, pour encore plus montrer le courage et la loyauté du personnage principal. Il y a aussi des passage drôle, par exemple le personnage de Su l’assistant de Wong Fei-Hong, est bègue, maladroit, et un peu naïf, cela le rends vraiment ridicule ce qui met un peu de joie dans ce film de Kung-fu.

Le film est peut-être un peu long, mais si il est bien rythmé à la fin on est content qu’il s’arrête. Tsui Hark a aussi fait des film plus comique, mais toujours avec des scènes de combats, comme le Festin chinois ou encore Peking opera blues.

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